Jack Sutton

Natif de Los Angeles, je suis l'aîné d'une famille de deux. Mon père est avocat réputé à Los Angeles et ma mère professeur au primaire. Donc vous voyez d'où vient mon sentiment de justice. Proche de ma soeur, j'ai toujours été protecteur envers elle. Ne touche pas à ma soeur qui veut sans se frotter à moi. Au primaire j'étais le petit justicier de mes amis n'hésitant pas à défendre mes pairs ou même me battre avec eux si besoin était. Donc oui je suis arrivé souvent à la maison avec des bleus, une lèvre fendue ce qui me valait des visite chez le directeur. Malgré mes frasques, j'étais un bon élève,  studieux, de bonne notes. En somme un bon élève.

Au secondaire, j'étais la petite coqueluche de l'école. Quart-arrière de l'équipe de football je ne vous dis pas le nombre de petites amies que j'ai eu. Néanmoins je me dirigeai vers les techniques policières ou je fis ma formation avec sérieux. Je sortis donc avec mention honorable et trouvai un stage rapidement au LAPD. Mon partenaire était un homme merveilleux qui m'apprit les rouages du métier et qui fut de bons conseil. Je rencontrai ma femme au petit café pas loin du poste.  Belle, intelligente et avec un sourire à faire chavirer les coeurs. Je tombai fou amoureux d'elle. Après deux ans on se maria  rempli d'amour et promesse d'un futur heureux. Ma femme et moi ne purent avoir d'enfants comme elle était stérile. Elle en fit dévastée et je me.fis un devoir de la rassurer que ce n'était pas grave. A 30 ans, j'allais faire la formation du FBI et fit une spécialisation en explosif au grand dam de ma femme. Elle se fit à l'idée même si elle était constamment inquiète. On déménagea à Quantico laissant famille et amis derrière du à ma carrière qui montait tranquillement. Dû à mon professionnalisme et ma minutie ma réputation courant rapidement sur les lèvres. À 40 ans mon mariage vola en éclat: ma femme demanda le divorce.
J'étais constamment parti en mission, au bureau jusqu'à des heures impossible et ça c'est pas quand j'arrivai pas avec des dossiers urgent à finir. En gros j'étais de moins en moins disponible pour elle malgré mes vains effort à sauver un mariage qui coulait. À  42 ans, je me fis offrir le poste de Chef d'unité. Je l'acceptai comme je n'avais plus rien mis à part mon boulot, des amis et... ben mon boulot finalement. Encore célibataire, je ne désespère pas à trouver la mienne. Mais bon... elle devra percer ma carapace et ainsi peut-être vivre heureux avec quelqu'un. En attendant je m'occupe de mon équipe comme s'ils étaient mes propres enfants.